Chacha a écrit::shock: Les niveaux sonores donnés par Paulo correspondent à un lave-linge de moyenne gamme !
Si tu es à + de 10 m de la source, c'est ok !
De toute façon, la loi est claire et nette :
« Art. R. 1334-31. − Aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme . . . . >>
Chacha, bc,
Merci aussi de vos réflexions.
J'ai mesuré les distances hier : le rocher est à 1,90 m de notre muret (bas, donc il n'arrête rien et on n'a pas le droit de le surrélever), et à 5,60 de notre maison.
Au sujet de la répétion (tous les jours depuis 2 ans !), de l'intensité, de la durée (11 heures l'hiver, 16 heures l'été plus la nuit !), on est servis.
Bc, un tout petit résumé : c'est la pompe filtrante de nos voisins qui nous gêne, piscine à débordement Diffazur et pompe dans un rocher synthétique, et ce depuis plus de 2 ans... Ils ont fait qq aménagements (tapis caoutchouc, silent blocks), ça a un petit peu atténué, mais pas supprimé, loin de là, le bruit, que l'on entend même de l'intérieur.
La voisine est sympa, bon, je sens qu'elle en a marre, mais elle reste correcte. Son mari m'a dit clairement que c'était comme ça et que nous étions des emmerdeurs.
Le technicien Diffazur est déjà venu l'an dernier, il m'a dit que j'avais une oreille bizarre ! C'est pour ça que je voudrais qu'il vienne chez nous pour entendre le bidule, et que je veux lui mettre les mesures sous le nez.
La voisine avait dit qu'il viendrait, et depuis plus de nouvelles (12 jours.) et surtout, le bruit a augmenté depuis dimanche soir (je sais que le mari s'est occupé de nettoyer la piscine, il a dû en profiter pour augmenter la puissance, il le fait régulièrement (bêtise ? provoc ? égoïsme ?), notamment cet été : ils sont partis 2 semaines et il l'a mis plein pot juste à ce moment-là.)
Voilà la galère qui nous bouffe la vie. J'ai vraiment besoin de votre aide pour tenter une dernière fois de régler ça entre nous, avant de prendre les grands moyens.
Merci à vous,
Margaux