Nouveauté de Lyon 2008
Bonjour, nous avons présenté sur le salon de Lyon plusieurs nouveautés dont la principale est l'hydroxion. Le principe étant de ioniser négativement l'eau des spas au travers de millions de macro-bulles d'air ionisée. Cette technique est issue du milieu de la thalasso, thermalisme et du médical.
Voici un texte présentant ses avantages et effets sur l'organisme.
Les ions négatifs : une sources de jouvence
Les ions négatifs (fines particules chargés électriquement) présents dans l’air que nous respirons sont de véritables concentrés de bien-être.
Pour le professeur Métadier, docteur en médecine, pharmacien, physicien, et autorité en la matière, les ions négatifs sont « les vitamines de l’air ».
L’ionisation de l’air est un phénomène naturel : ses atomes passent de l’état neutre à l’état excité (ou ionisé) sous l’influence des rayons UV du soleil, des décharges d’éclairs sous l’orage, des vagues de l’océan etc… En permanence se créent dans l’atmosphère des ions positifs et négatifs à partir de tous les constituants de l’air (azote, oxygène, gaz carbonique, gaz rares etc…) ; leurs durées de vie est courte mais utile et certainement indispensables à la vie sur terre des humains, des animaux ou des plantes.
Dans l’air, les ions négatifs sont presque exclusivement des ions d’oxygène (ou oxions) avec des variations de concentration suivant les saisons, les changements météo, les lieux de séjour.
Les ions positifs sont prépondérants aux périodes d’équinoxes, lors de vents secs et chauds (vent d’autan), lors de la lune nouvelle, lors de brouillard ou de « temps lourds » mais aussi dans une pièce mal aérée, à l’air confiné ou climatisé, en présence de matériaux synthétiques et plastiques ou d’appareils électroniques (écrans de télévision, d’ordinateurs, photocopieurs , imprimantes etc) enfin dans un univers urbain pollué . On constate alors des états pathologiques (plus ou moins transitoires) en augmentation, des petits malaises (fatigues, maux de tête) un état de stress excessif, voir des instabilités caractérielles (irritabilité, troubles de la concentration ou de la vigilance) pour certains d’entre nous ; nous n’avons pas tous la même sensibilité aux ions positifs.
Au contraire un surplus en ions négatifs semble bienfaisant pour l’équilibre de nos tissus et influences l’ensemble de nos fonctions vitales (sensation de bien-être – normalisation des fonctions biologiques et des troubles psychiques ).
On retrouve cette situation dans les forêts (et particulièrement dans les forêts de pins), en montagne, au pied des cascades, en bordure de mer en présence d’embruns, après une pluie voir plus simplement … sous notre douche matinale.
L’utilisation d’ions négatifs apporte des résultats bénéfiques dans le traitement clinique de l’hypertension, de l’asthme, du rhume des foins ou encore des gastrites. Les oxions ont une action régulatrice et normalisante sur le métabolisme basal.
De part son action sur les poussières, l’ionisation négative évite la propagation aérienne des maladies infectieuses, un rôle capital de prévention. Dans un autre domaine, l’action de ces ions négatifs semble primordiale dans l’oxygénation du sang (stimulent l’action des cils vibratiles).
Par ailleurs, de nombreuses études ont montré l’action des ions négatifs dans le domaine comportemental : meilleure concentration, amélioration de la performance (augmentation de la rapidité d’exécution d’une tâche – amélioration du temps de réaction visuelle et auditive) . Le taux de sérotonine, neurotransmetteur impliqué dans la régulation des états de stress, de la dépression, de l’anxiété ou des insomnies, pourrait être influencé favorablement par la présence d’ions négatifs.
A n’en pas douter les ions négatifs, qui agissent globalement sur les réactions d’oxydation de notre organisme, contribuent positivement à notre bien-être quotidien :
L’abus d’ions négatifs peut être bénéfique pour votre santé :
à consommer sans modération.
Ordre de grandeur :
• Au pied des cascades : 50 000 ions négatifs par cm3.
• A la montagne : 8 000 à 12 000 ions négatifs par cm3.
• En bord de mer : 4 000 ions négatifs par cm3.
• En forêt : 3 000 ions négatifs par cm3.
• Après l’orage : 1 500 à 4 000 ions négatifs par cm3.
• A la campagne : 500 à 1 200 ions négatifs par cm3.
Et aussi un surplus d’ions négatifs (par rapport à la normale) : au soleil, près des fontaines, sous la douche.
• En atmosphère normale (sans pollution) : 2 000 ions négatifs par cm3. (contre 3 à
4 000 ions par cm3 dans une station dit climatique où l’on va « faire une cure »)
• Dans une pièce fermée et polluée : jusqu’à 20 ions négatifs par cm3.
J'attends vos commentaires ou questions
Voici un texte présentant ses avantages et effets sur l'organisme.
Les ions négatifs : une sources de jouvence
Les ions négatifs (fines particules chargés électriquement) présents dans l’air que nous respirons sont de véritables concentrés de bien-être.
Pour le professeur Métadier, docteur en médecine, pharmacien, physicien, et autorité en la matière, les ions négatifs sont « les vitamines de l’air ».
L’ionisation de l’air est un phénomène naturel : ses atomes passent de l’état neutre à l’état excité (ou ionisé) sous l’influence des rayons UV du soleil, des décharges d’éclairs sous l’orage, des vagues de l’océan etc… En permanence se créent dans l’atmosphère des ions positifs et négatifs à partir de tous les constituants de l’air (azote, oxygène, gaz carbonique, gaz rares etc…) ; leurs durées de vie est courte mais utile et certainement indispensables à la vie sur terre des humains, des animaux ou des plantes.
Dans l’air, les ions négatifs sont presque exclusivement des ions d’oxygène (ou oxions) avec des variations de concentration suivant les saisons, les changements météo, les lieux de séjour.
Les ions positifs sont prépondérants aux périodes d’équinoxes, lors de vents secs et chauds (vent d’autan), lors de la lune nouvelle, lors de brouillard ou de « temps lourds » mais aussi dans une pièce mal aérée, à l’air confiné ou climatisé, en présence de matériaux synthétiques et plastiques ou d’appareils électroniques (écrans de télévision, d’ordinateurs, photocopieurs , imprimantes etc) enfin dans un univers urbain pollué . On constate alors des états pathologiques (plus ou moins transitoires) en augmentation, des petits malaises (fatigues, maux de tête) un état de stress excessif, voir des instabilités caractérielles (irritabilité, troubles de la concentration ou de la vigilance) pour certains d’entre nous ; nous n’avons pas tous la même sensibilité aux ions positifs.
Au contraire un surplus en ions négatifs semble bienfaisant pour l’équilibre de nos tissus et influences l’ensemble de nos fonctions vitales (sensation de bien-être – normalisation des fonctions biologiques et des troubles psychiques ).
On retrouve cette situation dans les forêts (et particulièrement dans les forêts de pins), en montagne, au pied des cascades, en bordure de mer en présence d’embruns, après une pluie voir plus simplement … sous notre douche matinale.
L’utilisation d’ions négatifs apporte des résultats bénéfiques dans le traitement clinique de l’hypertension, de l’asthme, du rhume des foins ou encore des gastrites. Les oxions ont une action régulatrice et normalisante sur le métabolisme basal.
De part son action sur les poussières, l’ionisation négative évite la propagation aérienne des maladies infectieuses, un rôle capital de prévention. Dans un autre domaine, l’action de ces ions négatifs semble primordiale dans l’oxygénation du sang (stimulent l’action des cils vibratiles).
Par ailleurs, de nombreuses études ont montré l’action des ions négatifs dans le domaine comportemental : meilleure concentration, amélioration de la performance (augmentation de la rapidité d’exécution d’une tâche – amélioration du temps de réaction visuelle et auditive) . Le taux de sérotonine, neurotransmetteur impliqué dans la régulation des états de stress, de la dépression, de l’anxiété ou des insomnies, pourrait être influencé favorablement par la présence d’ions négatifs.
A n’en pas douter les ions négatifs, qui agissent globalement sur les réactions d’oxydation de notre organisme, contribuent positivement à notre bien-être quotidien :
L’abus d’ions négatifs peut être bénéfique pour votre santé :
à consommer sans modération.
Ordre de grandeur :
• Au pied des cascades : 50 000 ions négatifs par cm3.
• A la montagne : 8 000 à 12 000 ions négatifs par cm3.
• En bord de mer : 4 000 ions négatifs par cm3.
• En forêt : 3 000 ions négatifs par cm3.
• Après l’orage : 1 500 à 4 000 ions négatifs par cm3.
• A la campagne : 500 à 1 200 ions négatifs par cm3.
Et aussi un surplus d’ions négatifs (par rapport à la normale) : au soleil, près des fontaines, sous la douche.
• En atmosphère normale (sans pollution) : 2 000 ions négatifs par cm3. (contre 3 à
4 000 ions par cm3 dans une station dit climatique où l’on va « faire une cure »)
• Dans une pièce fermée et polluée : jusqu’à 20 ions négatifs par cm3.
J'attends vos commentaires ou questions
