Page 1 sur 1
Stepoc ou parpaing traditionnels?

Posté:
Mer 17 Oct 2007 à 20:15
par plibou
j'ai une offre pour une piscine en bloc a bancher une autre stepoc
j'ai fouiner sur le forum mais je trouve peu d'info
merci pour vos eclairage

Posté:
Mer 17 Oct 2007 à 20:42
par Touille
stepoc et bloc a bancher c'est du kif-kif
effectivement

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 12:24
par plibou
Bon j'avais qu'a relire mon post
bloc a bancher ou parpaing tradi
désolé pour la faute de frappe

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 13:53
par Pascal_974
Sujet déjà traité, mais on peut globalement dire :
- bloc à bancher : plus facile à mettre en oeuvre car s'empile comme du Lego et reste à remplir de béton.
- parpaing : obligé de monter avec mortier et intercaler des poteaux + chainage à coffrer. Je trouve que çà fait plus de manipulations.
Sinon quand on reste dans des dimensions courantes, la solidité c'est kif kif.
Maintenant Manu16 l'expert pourra te présciser tout çà !

RE

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 14:05
par plibou
J'ai regarder tout les messages de manu 16 j'ai pas trouvé le fil ou il en parle
si qq un a le lien ca m'interesse

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 19:02
par framu
c'est pas comparable , d'un coté tu as un ouvrage en béton armé qui résistera aux poussées tranversales et horizontales alors que le parpaing m^me avec des poteaux armés seront infiniment moins résistant . Si tu veux du durable choisi les banches , tu n'auras que la premiére ligne à régler et jointer à la dalle , les autres tu empiles mais effectivement ça sera sans doute plus cher à cause du volume de béton et des tors dans les murs .

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 20:02
par manu16
+1
re

Posté:
Jeu 18 Oct 2007 à 20:37
par plibou
Merci
donc je dois porter mon choix sur du banche
mais entre le devis du macon et le pisciniste
y a plus qu'une paille
le macon dit que sa technique est bonne bien sur
chainage haut et bas et poteaux tous les 2 metres
merci pour vos conseil

Posté:
Ven 19 Oct 2007 à 04:53
par manu16
Si tu précisais les dimensions de ta piscine et le type de revêtement, il serait plus facile de t'apporter des conseils. . .
En deux mots, disons que la solidité des piscines en parpaings est assurée par les raidisseurs et les chaînages (les parpaings ne servant que de remplissage entre ces éléments) tandis que le principe des blocs à bancher est de répartir la charge sur la totalité des murs. Elles risquent donc de fissurer plus facilement et sont généralement réservées à des revêtements de type liner ou polyester plutôt qu'un carrelage ou une peinture.
Cela dit, leur solidité est suffisante dans la plupart des cas. Si cela peut te rassurer, l'ITBTP 77 limite leur taille à 15 m (pour 2 m de ht) avec un seul chaînage sous l'arase et sans raidisseur vertical !
PS : L'élément le plus important d'une piscine, c'est le bassin. Il vaut donc mieux avoir affaire à un maçon qu'à un pisciniste. . .
re

Posté:
Ven 19 Oct 2007 à 08:29
par plibou
merci manu pour ces precisions
la piscine
9 x 4,5 avec escalier rectangulaire
liner
voila pour les precisions

Posté:
Mar 23 Oct 2007 à 12:14
par colom
Bonjour,
Pour moi les 2 sont aussi solides car ds le cas des agglo à bancher on remonte de la dalle des férailles a 1 brin et ds le cas dee agglo tradi
on remonte ds chaque pilier 4 brins .
D'aprés moi il n'y a qu'une répartition différente des férailles.
Beaucoup de pisciniste utilisent les 2 méthodes.
Si le principe des agglos tradi ne tenait pas le choc toutes les maison
qui ont une semi cave ou cave devraient se déteriorer et ce n'est pas
le cas depuis plusieurs dizaine d'année.
De plus ds ce cas la poussée de la terre n'est pas compensée par de l'eau.
A+

Posté:
Mar 23 Oct 2007 à 13:21
par manu16
Il est vrai que les piscines en parpaings sont généralement solides mais ton argument sur le ferraillage est peu convaincant (4 tors verticaux tous les 2.50 m contre 1 tors tous les 25 cm dans les 2 sens). Quant aux caves de maison, tu oublies le plancher en béton qui tient l'écartement des murs.
Le jour où tu devras démolir une piscine en blocs à bancher et une autre en parpaings, tu verras mieux la différence. . .
