Les margelles en pierre ont été posées et les joints faits dans la foulée la même journée avec du mortier Weber pour joints de dallages et de pierres naturelles.
Environ 1/4 des joints présentent des fissures le long de la margelle mais parfois aussi dans la largeur. Est-ce acceptable ? Faut-il les refaire ? Merci d'avance pour vos commentaires.
Je ne sais pas, peut être. Ca pourrait expliquer les fissures ?
Pour info les joints font 10mm de large et les margelles 4 cm d'épaisseur.
D'autres avis ? Merci.
LaurentCJ a écrit:Mais est-ce qu'il faut exiger de les refaire ?
Non ! en tout cas je crois pas ! Ca n'a pas l'air catastrophique, quand même !
Dieu merci, quand on se contente de penser au lieu d’écrire, on a parfaitement le droit de sauter du coq à l’âne , sans s’attirer des remarques désobligeantes.
Séchage trop rapide au soleil ? et/ou carreaux poreux non suffisamment humidifié avant ? et/ou joint trop liquide. Et donc retrait du joint. . . Ca m'est arrivé par endroit. Pas dramatique mais avec le temps et l'eau, cela fait des niches à saletés.
- 11,5 x 5 m béton, liner sable
- électrolyse sel inversion manuelle
- régulation pH
- Volet immergé
- Robot Victor
- Rien d'autre, pour quoi faire ?
Merci à tous pour vos commentaires.
En fait la question c'est surtout de savoir si les fissures sont superficielles ou en profondeur ?
Je pense demander au maçon de gratter pour que l'on vérifie ça, car si c'est en profondeur ce sont des risques d'infiltration d'eau ?
djon66 a écrit:sans aucun risque sur la srtucture!
C'est bien ce qu'il me semble, faut arrêter de l'affoler ! De toutes façons, les microfissures, il y en aura toujours
Dieu merci, quand on se contente de penser au lieu d’écrire, on a parfaitement le droit de sauter du coq à l’âne , sans s’attirer des remarques désobligeantes.
Dieu merci, quand on se contente de penser au lieu d’écrire, on a parfaitement le droit de sauter du coq à l’âne , sans s’attirer des remarques désobligeantes.
Dieu merci, quand on se contente de penser au lieu d’écrire, on a parfaitement le droit de sauter du coq à l’âne , sans s’attirer des remarques désobligeantes.