construction d'une piscine Aqua Discount semi enterrée

Bon, voila, ça fait 1 an que le projet de notre piscine est lancé, sa réalisation est quasiment terminée. Depuis le début, je m’étais dit qu’il fallait que je partage mon expérience (j’ai beaucoup appris en lisant les vôtres).

Et puis c’est l’hiver, il n’y a rien d’autre à faire. Donc je me lance.

L’idée a été lancé à la fin de l’été, quand on en a eu marre de
- Réparer les boudins percés de la piscine gonflable
- Changer la piscine gonflable par ce que trop percée
- Changer la pompe qui a grillé
- Changer l’eau qui verdie en 2 temps 3 mouvements…


Le choix de la piscine

Le choix a été difficile, on voulait une petite piscine qui ne mange pas tout le jardin, qui ne coute pas un bras (pour ça qu’une solution, la faire soi même), et qui soit compatible avec la nappe phréatique qui coule 1m sous nos pieds (mauvais souvenirs du creusement de la cave).

On s’est décidé pour une piscine semi enterrée, en panneaux à assembler de chez Aqua discount.

Avant, nous avons passé en revue pas mal de fabricants et étudié les différentes technologies :
- Piscines en bois : pas chères pour les premiers prix, mais les seuls qui assuraient une bonne tenue dans l’eau étaient au même prix que les piscines en panneaux.
- Piscines tradi, béton banché, coques : plus chères et pas prévues pour être semi enterrées.
- Piscines en panneau : on a vu Aqua Discount, Aqui nox et water air qui proposent à peu près le même système.

Je n’ai pas souvenir des autres devis, mais grosso modo, Water air était 1000€ plus cher pour moins de surface et moins profond, et Aqui nox plus cher encore.

On a quand même pas mal hésité, car on a lu sur le web beaucoup d’avis défavorables et de déconvenues de clients Aqua Discount.

Mais il y avait quand même certains avantages à les choisir :

- La proximité : on est voisins du coup on s’est offert une visite de leur usine.
- Les prix agressifs : même si on a loupé la période des soldes (septembre / octobre, et on a signé en janvier), on a économisé sur la livraison.
- La dimension personnalisée (ils ont des panneaux de 100 ou 50 cm de large)
- L’équipement : pompe puissante qui offre une (petite) nage à contre courant, hydrojet et projo à LEDs multicolores, le tout regroupé dans un même bloc, donc moins de risque de fuites.
- La qualité des matériaux (validé à la visite, confirmé par la suite)

Après beaucoup de plans, d’esquisses, de simulations et de devis corrigés, la piscine fera 3 x 5 m, avec un double fond plat à 1,20m et 1,50m, dépassant de 60cm du sol.

Pour savoir quelle est la profondeur idéale :



Jusqu'à 60 cm hors du sol, il faut prévoir une demande d’autorisation auprès de la mairie, c'est-à-dire les mêmes contraintes d’urbanisme et quasiment les mêmes pièces nécessaires que pour un permis de construire.

Notre projet pour l'urbanisme :



Les couts :

La piscine elle-même
Facture au 16/01/2012 :
Structure double fond plat 120/150 en 3x5m - garantie 10 ans
Bloc de filtration 45m3/h (puissance ?) - garanti 2 ans
Liner gris 75/100 - garanti 10 ans non dégressif
Vannes pour une future PAC
Projecteur Rainbow Power 12 leds couleur télécommandé
Echelle inox 3 marches
Enlèvement des pièces à l’usine (location camionnette 40€ au lieu de 400 € de frais de livraison)

Total : 3567 € ttc

Terrassement :
Trou + aide au coulage (je me suis chargé de l’évacuation des terres) : 642 € ttc
Radier, canalisations, pompes : environ 1000 €

Aménagement terrasse : environ 1500 €
Bâche de sécurité : 955 € ttc


Je m’en tire donc pour un peu moins de 8 000 € mais un peu plus de 400 heures de boulot.

Le terrassement

Tout était prêt à l’avance. J’avais même négocié pour 10€ 20m de géotextile et une chute de canalisation sur un chantier en prévision du puit de décompression.



Le mois de mars a été exceptionnellement sec, ce qui était parfait pour creuser le trou, sauf que la pelle et son conducteur n’étaient disponibles qu’en Mai, et qu’entre temps il y a eu 1 mois de flotte.



Résultat, au 16 mai, j’avais déjà ma piscine pleine d’eau.


Il faut dire qu’on s’était mal organisé : le terrassier aurait du commencer par creuser le puit de décompression 40cm au dessous du niveau le plus bas des fouilles et pomper l’eau aussitôt.

Malheureusement, il a fallu que je me débrouille avec mes petites mains, du coup j’ai passé le WE à creuser un trou plein d’eau qui ne cessait de se remplir de sable. Un peu comme à la plage au bord de l’eau… mais c’était moins marrant, mes nerfs et mes muscles en ont pris un coup !

En plus je n’avais pas acheté la bonne pompe : un vide cave premier prix qui n’a pas tenu 48h sous l’effet du sable. Heureusement un voisin m’a prêté sa pompe équipée d’une crépine et d’un clapet anti-retour, bruyante, mais bien plus pratique.

A force d’insister et grâce à une poubelle 80L avec le fond découpé, les parois percées de trous et enroulée dans du géotextile, j’ai réussi à assécher les fouilles… une semaine, jusqu’à ce que le géotextile soit rendu étanche par les nombreux brins d’herbes qui flottaient au milieu d’une gadoue argileuse.



Tout a refaire, et en plus il a fallu évacuer la terre tombée des parois qui ont ravinées.


La bonne combinaison aura été de creuser autours de la poubelle et de remplacer au fur et à mesure le sable évacué par des galets lavés. La vaine d’eau qui noyait mes fouilles a été déviée provisoirement vers un trou secondaire dans lequel j’ai planté la crépine protégée par du géotextile. Bien sûr, il fallait régulièrement la décrasser. Les deux trous ont été creusés simultanément, la crépine restant toujours quelques centimètres en dessous du trou du puit de décompression. (je ne sais pas si je suis bien clair dans mes explications)



J’ai complété ce dispositif en faisant une tranchée sur toute la périphérie des fouilles. Dans une enveloppe de géotextile, j’y ai déposé un lit de galets et un drain agricole qui se termine dans mon trou rempli de galets.




A la Pentecôte, les fouilles étaient sèches.

Bon, je n’ai pas donné suite depuis 1 an, ce n’est pas sérieux, je reprends, et je vais essayer de faire plus concis.

Donc, le trou est fait, je passe au coulage de la dalle. Ça aura été la partie la plus galère et la plus flippante.

Le rendez vous a été pris avec quelques paires de bras le 2 juin à 8h00.

Il y avait encore de l’eau au fond, et avec les éboulements il aura fallu retirer encore pas mal de sable, grignoter quelques centimètres de bords pour avoir la bonne largeur, reprendre les mesures de profondeur au laser de chantier (pas évident d’être précis), soit 2 ou 3 heures de retard sur le planning.



Ensuite pose du géotextile (encore un truc négocié sur un chantier pour pas cher), de la ferraille de chez Leroy Merlin, un peu trop fine à mon gout.
Puis assemblage des treillis (le constructeur préconisait du béton fibré, mais avec les soucis que j’ai eu, j’ai rajouté du treillis soudé en plus de la fibre, et un béton un peu plus dosé (de mémoire, ça devait donner 24 pelles de grave pour 1 sac de ciment).

Quand on a creusé, on n’a pas pensé à prendre en compte l’épaisseur du coffrage, du coup on fera sans. Mais c’est plus long, beaucoup plus long : au lieu de guides pour la règle, il faut constamment vérifier avec le niveau laser. Et pour avoir un résultat plan, le collègue nous demandait de ‘mouiller’ toujours plus le béton. J’espère que ça n’aura pas d’incidences sur sa résistance dans le temps.

A l’inverse, le béton de la pente devait être plus sec pour ne pas glisser vers le bas.

Pour l’angle de la pente, j’avais préparé un gabarit en contreplaqué. Utile mais pas suffisant…



Le chantier a été terminé vers 16h00, avec juste une pause casse croute pour souffler un peu. Il ne reste plus qu’à laisser sécher.



18h00 : orage (Ô désespoir). Le béton n’est pas sec. Maintenant il y a plein de cratères sur la belle dalle toute lisse. Normal, avec un béton liquide.

Pour rattraper ce désastre j’ai été obligé de faire un ragréage après avoir monté les panneaux.

En conclusion si je devais le refaire, je laisserai cette partie à un pro, mais encore faut il trouver le bon…

Comme dans la pub, un jeu d’enfant. D’ailleurs mes gosses étaient contents de m’aider.



Le weekend aura été nécessaire mais avec une hauteur de 1,20 et 1,50, il y a 2 fois plus de panneaux à assembler. L’alignement avec les jambes de force est également facile. Par contre j’ai quelques appréhensions quand à la bonne épaisseur de la dalle (10cm), au moins en périphérie, car par moments le foret traversait bien vite le béton !

A d’autres endroits, je n’avais pas la place pour poser les jambes de force, il a fallu que je dégage de la terre, et que je fixe la partie inférieure des jambes dans un plot de béton.



2 choses m’ont quand même gêné :
- Tracer au sol une ligne droite qui servira de base à l’alignement des panneaux n’est pas évident à cause du changement de niveau des 2 plans.

- Il aura fallu rattraper le manque de précision dans le coulage du radier autour de la pente (toujours elle) : certains panneaux flottaient quelques centimètres au dessus du béton ; à l’inverse pour d’autres, j’ai dû faire une saignée pour les enfoncer de quelques centimètres. raboter, boucher les trous… encore du temps de perdu.

Pour protéger les panneaux de la terre et des cailloux plus que pour isoler, j’ai rentré en force des plaques de polystyrène extrudé.



En prévision de la terrasse qui viendra autour de la piscine, j’ai posé tous les mètres des parpaings à la verticale qui serviront de point d’ancrage pour les fondations (pas question de couler la dalle sur du remblai récent). Pour la pente, j’ai utilisé des chutes de tuyau PVC que je remplirai de béton et de la ferraille scellée dans le radier.

Pour me prémunir le plus possible d’éventuelles racines qui voudraient abîmer la structure de la piscine, j’ai réalisé une barrière avec des rouleaux de protection de soubassement.



La pose du bloc de filtration n’a pas été plus compliquée. Il repose sur des parpaings et du béton, il est soutenu par des jambes de forces (un peu courtes).
Et j’ai rajouté une prise de terre pour le futur branchement électrique comme demandé sur la notice.

Une fois les panneaux alignés, calés et fixés, il faut corriger les erreurs de maçonnerie



Donc, gratter toute la laitance (j’ai utilisé des parpaings comme pierre ponce, (après j’ai appris qu’il existait un outil exprès pour, mais c’était après.), reboucher les trous, aspirer toutes les poussières, passer un primaire d’accroche, le lacérer au cutter parce que c’est étanche et que j’avais lu que ce n’était pas bon pour le liner, puis passer le primaire d’accroche sur les 2 surfaces planes.

Je ne sais pas comment je me suis débrouillé, mais le ragréage a fait des bulles. Il a donc fallu que je les perce, les gratte, les rebouche, et les ponce jusqu’à avoir quelque chose de propre. Et pour la pente, j’ai beaucoup poncé mais il reste quelques reliefs.

Vu le temps que ça m’a pris, la dalle à bien eu le temps de sécher…

Une fois terminées les finitions du sol, je me suis attaqué à celle des parois verticales :
Pose des profils Hung qui serviront d’accroche au liner, et mastiquer tous les contours des panneaux pour obtenir une surface plane afin que plus tard les assemblages ne se voient pas (ou du moins le moins possible) avec la lumière rasante de l’éclairage et l’effet loupe de l’eau.

Comme il me restait du mastique, j’en ai mis aussi entre la dalle et les panneaux, et entre les panneaux et les profils.



J’ai ensuite remblayé de moitié, sans tasser.

Ensuite pose du liner. Nous avons choisi le modèle gris, plus cher mais garanti 10 ans non dégressif. Comme il est vendu sur mesure, ça s’est fait les doigts dans le nez, pas de faux pli, avec simplement l’aide de mon beau-frère et d’un simple aspirateur de maison.



Pour ne pas qu’il bouge quand la piscine se remplie, il faut le lester en haut de la pente. J’ai utilisé les bidons d’oxygène actif de 10 kg posés sur une chute de liner.

J’aurai d’ailleurs passé plus de temps à aspirer le moindre grain de sable qu’à tendre le liner.

Pour info, le liner est posé directement sur la dalle comme préconisé par Aqua discount.

Vient ensuite la mise en eau. Au début, c’est long, très long. même avec 2 robinets.

Ensuite on est occupé à tasser la terre et à combler le reste de tranchée, alors ça passe plus vite…

Mine de rien on a fait ça sur 2 jours. Quand le niveau a attend la mi-hauteur, on a arrête l’aspiration. Peut être trop tôt ? Je trouve que le liner est vachement tendu aux angles, mais il paraît que c’est normal.



Par contre nous avons eu une mauvaise surprise le lendemain : la pression de l’eau a déformé un coté de la piscine. En fait, une jambe de force ne devait pas être assez serrée, et elle a glissé.



Heureusement, après divers essais infructueux, j’ai réussi à redresser les panneaux sans vider l’eau, grâce à mon cric de voiture et de gros tasseaux.



La solution pour que ça ne bouge plus ?
Une fois calées, il faut percer chaque jambe de force (prévoir un bon foret métaux) et boulonner à travers, mais ce n’était pas indiqué dans la notice…



J’ai eu une grosse appréhension au moment de découper le liner pour raccorder le bloc technique, mais ça c’est bien passé. J’avais juste une petite fuite au niveau du câble d’alim du spot, mais je l’ai colmatée avec un reste de mastic. (A ce propos, j’ai pensé à laisser suffisamment de longueur de câble pour pouvoir retirer le spot facilement hors de l’eau, c’est très pratique quand il faut le changer)

Je n’ai pas rencontré de difficultés pour le branchement électrique, tout était quasiment déjà prêt. Voici à quoi ressemble le bloc technique :

La piscine sort de 60cm en dehors du sol. Pour ne pas que ca face trop blockhaus dans le jardin, j’avais prévu de surélever la terrasse autour, ce qui m’aura permis en plus de réutiliser le remblai du trou. Du coup, je n’aurai fait en tout que 2 weekends de rotations à la déchetterie avec une petite remorque et au final, j’aurai économisé 150€ de frais d’évacuation des 8m3 de terre.

Avant de commencer à remblayer il faut penser à tirer toutes les gaines électriques : alimentation du bloc technique et éclairage.

La dalle de 7cm reposera sur des parpaings de 10cm posés à plat sur la terrasse existante, et sur les parpaings dressés au pied de la piscine.


Ensuite, coffrage et ferraillage autour de la piscine et coté jardin ; j’ai aussi pensé à laisser un joint de dilatation entre la future dalle et le mur de la maison. Pour cela j’ai acheté un rouleau de mousse de 5mm d’épaisseur sur les conseils du vendeur que j’ai déroulé tout le long du mur.

J’ai laissé se tasser le remblai tout l’été. Bon, c’est vrai que pour se baigner, il fallait faire l’équilibriste sur des palettes, des parpaings et rentrer dans l’eau direct car il n’y avait pas encore d’échelle. Mais au moins on en a profité !








Après le radier de la piscine, couler la dalle de la terrasse aura été un jeu d’enfant.

Une fois la dalle de la terrasse terminée, j‘ai voulu présenter l’échelle…

Les échelles (ou du moins la mienne) sont faites pour être fixées sur une plage à hauteur de margelle, mais moi, ma plage est à 40 cm dessous les margelles. Donc quand j’ai présenté l’échelle, elle a touché le fond de la piscine avant de trouver la terrasse.



Il a fallu que je trouve une solution pour la fixer en hauteur. Je ferai une marche, et tant qu’à faire une marche, autant faire un pédiluve (avec système de vidange)

Pour la finition, j’ai monté un muret en parpaing de 20 autours de la piscine avec éclairage encastré (des spots prévus pour les terrasses). Les margelles reposent sur les parpaings qui eux seront recouverts de plaquettes de parement imitation pierres jointées. (Attention, les joins prennent un temps fou, on n’en voit pas le bout…)







Pour commencer le carrelage de terrasse, il a fallu attendre
1 qu’il y ait du soleil
2 qu’il ne fasse pas trop froid la nuit
3 que les conditions soient réunies pendant le weekend.

Autant dire que dès que j’ai pu, je m’y suis mis… en octobre. Sauf qu’à peine posé 4 carreaux, je me suis pris la pluie avec de grosses rafales de vents !J’ai protégé comme j’ai pu mon boulot…





Au passage, il faut bien choisir un carrelage antidérapant pour piscine. Quand j'ai posé le mien, j'avais l'impression qu'il était fait de toile émeri tellement j'ai bouffé des éponges quand il fallait nettoyer les joints. Pourtant quand on a les pieds mouillés on arrive quand même à glisser !



Pour finir, à l’autre bout de la piscine, j’ai entouré le bloc technique d’une plage en bois qui me sert en même temps de coffre de rangement sur toute la largeur.

J’ai opté pour une bâche à barre.
Plus de sous dans la tirelire pour un rideau, l’alarme immergée prévient quand c’est trop tard, et je ne voulais pas de clôture au pied de la terrasse. Il y avait aussi l’alarme péri métrique, mais chère pour ce que c’est et pas forcément fiable, surtout avec les chats du quartier.

La bâche a aussi l’avantage d’éviter l’évaporation (au début je croyais avoir une fuite tellement l’eau s’évaporait vite), et elle permet de réchauffer un peu la piscine, bien que pas autant qu’une bâche à bulle.

La plus grosse difficulté a été de trouver un fournisseur prêt à me donner une homologation pour ma piscine semi enterrée : les bâches classiques sont faites soit pour des piscines à raz du sol, soit pour les piscines à plus de 40cm hors sol (je suis à 40cm de la terrasse).

J’ai trouvé mon bonheur avec une Walu Pool Advantage vendue par ABP Piscine (je fais de la pub quand je suis satisfait). Ça m’a couté 954.59 € TTC livrée prix septembre 2012 pour 19m².





Simple à fixer, rapide et facile à débâcher et encore plus à re-bâcher.

Par contre cette bâche est incompatible avec l’échelle en place. Il a fallu que j’achète des platines articulées pour lever l’échelle quand la bâche est en place. Coup de bol j’en ai trouvé pour 70€ sur le bon coin, sinon compter 150€.



Si j’y avais pensé avant de faire le pédiluve, j’aurais pris des platines à visser au sol plutôt que celles-ci qui rentrent dans les sabots d’origine de l’échelle. Elles auraient été moins chères et ça m’aurait permis de faire une marche plus fine.

Avec le recul d’un été et d’un hiver, je suis globalement satisfait de mon investissement.
L’entretient à l’oxygène actif, est un peu cher (il me semble avoir consommé 8 bidons de 10L dans l’année, mais sans garantie) mais l’eau n’a pas de gout ni d’odeur, et j’ai juste à regarder de temps en temps si le bidon est vide. Elle n’a pas viré de l’été dernier.

Le système de filtration n’empêche pas les dépôts au fond, mais ils sont concentrés dans un coin. L’été, il faut passer le balai aspirant (pas très pratique)
une fois par semaine pour que la piscine reste propre. Plus tard j’investirai dans un robot, pour l’instant, j’ai ma femme



L’hiver je laisse le système en fonctionnement (je fractionne plus les périodes d’activation de la pompe pour éviter que l’eau ne gèle dans les conduits) et au printemps je reprends les instructions du piscinier pour la relancer.

Un coup de karcher pour enlever les mousses d’hiver sur la terrasse, un coup de saturateur pour la plage en bois, et il n’y a plus qu’à sortir les transats…

Bonsoir!
Merci pour ce super reportage! Nous hésitons sur "presque" le même modèle : 2X5 pour nous, a cause de la place. elle dépasserai de 20 cms au dessus du sol. J'aurai une petite question très importante pour moi: La nage a contre courant est elle efficace pour faire une brasse tranquille ? pas beaucoup de retour sur les forums là dessus.
Pas évident de se décider entre les avis positifs et négatifs, c'est quand même une sacré somme à investir!
D'avance Merci!
bonne soirée

La nage a contre courant est elle efficace pour faire une brasse tranquille ?

Je n'ai pas de point de comparaison avec d'autres nages à contre courant.
Avec le jet bien orienté, on peut faire une brasse très tranquille, mais il ne faut pas forcer, sinon on risque de se cogner la tête sur le bord.

Pas de problème par contre pour avancer avec les battements de pied.

Merci pour votre réponse!
très jolie piscine en tout cas!
Je pense qu'il faut quand même être un bon bricoleur pour s'atteler a cette tache!
cordialement
Anne

Bonjour,

Tout d'abord bravo pour votre retour d'expérience.
Je suis également entrain de réaliser un bassin a**********, et je rencontre un problème, lorsque j'ai réalisé les joints entre mes panneaux, j'ai lissé le silicone avec une spatule, (comme préconisé) mais j'ai quelques défauts au séchage. je voulais savoir si vous aviez eu le même problème et surtout si cela se voit au travers du liner?

Merci d'avance!

Cordialement

je voulais savoir si vous aviez eu le même problème et surtout si cela se voit au travers du liner?

Bonjour,

J'imagine que je réponds un peu tard, mais je n'ai pas reçu de mail m'avertissant du message.

Je n'ai pas eu de problème particulier quand j'ai fait mes joints. Je les ai lissés avec une spatule large (mouillée avec un peu d'eau savonneuse, je ne me rappelle plus).

Par endroit j'ai dû faire 2 passages pour bien combler les creux, et j'ai dû découper quelques bourrelets de surplus de silicone rejeté aux extrémités de la spatule (très léger coup de cutter)

Si les panneaux sont bien alignés, le résultat est très acceptable. Bien évidemment quand on cherche, on voit les raccords sous le liner, surtout avec la lumière rasante du projecteur, mais ça reste discret.

De toutes façons, je crois qu'on ne peut pas y échapper, quelque soit la technique de construction (à moins de faire un enduis ciment sur des parpaings ?)

Bonsoir,

Merci pour votre réponse, effectivement la réponse arrive tardivement! (La piscine est en eau depuis 3 semaines)
Mais j'ai le même retour que vous.
Les joints sont discrets mais pas invisible, mais cela est vraiment minime !

Bonne baignade.

Cordialement

Bonjour,
Belle réalisation!
Je souhaitais réaliser le meme type de piscine (petite 2.25x4.25, semi-entérrée h1.30m moitié au dessus de la terrasse et moitié au dessous, polystyrene autour + finition type bois ou composite, liner gris...) et je suis tombé sur votre récit!
Du coup, j'ai quelques questions:
* quelle largeur prévoir pour les jambes de force (j'ai peu de place autour de la piscine, et c'est un chemin de passage d'un coté); j'ai vu que vous aviez 2 types (sans doute pour les 2 hauteurs?).
* quelle épaisseur pour le polystyrene extrudé pour que ca rentre pile poil dans les panneaux?
* Concernant la/les pompe(s), avez-vous un retour concernant sa conso et le bruit qu'elle peut faire (collée aux maisons dans notre cas) ? Pas de système de chauffage dans votre cas ?
* Concernant les finitions (mise en place de margelles...) est-il necessaire de faire un vrai gros mur béton autour, ou y-a-t-il des solutions plus simple pour "habiller" l'ensemble (de simples margelles bois par exemple) ?
* Meme questionnement pour l'echelle vs bache... 2 solutions : escalier (mais semble trop grand) ou articuler l'echelle; a********** ne pouvait-il pas fournir d'échelle articulée? n'y-a-t-il pas de solution avec petit escalier pour éviter de remonter l'échelle a chaque fois?
* Quelle est la dimension du "bloc" à prévoir ?
* Comment regle-t-on le debit de la pompe (entre utilisation simple pour filtrage et nage a contre courant par exemple) ? Combien y-a-t'il de buses (entrées/sorties) d'eau vers la piscine, et comment peut-on adapter le débit (pour chauffage/PAC ou autre traitement par exemple) entre la pompe et ces équipements supplémentaires si besoin (bypass réglable fourni avec mano?) ?
* Concernant la préparation de terrain, le geotextile était-il nécessaire/adapté? y'a-t-il des trous (bonde, evacuations...) ou pentes particulieres a penser en coulant le béton (toujours plus simple de prévoir avant ) ?

Merci d'avance si vous avez quelques éléments de réponse. J'en suis actuellement au terrassement (trou à moitié fait!)