Chacha a écrit:Chris83 a écrit:Pour la plupart de ceux qui ont une piscine, il semble évident qu’ils vivent en villa.
Beaucoup ici ont eu le projet de faire une installation photovoltaique pour un appoint, chauffer l’eau de la maison et ou de la piscine ou simplement pour être dans le créneau de la fibre écologique
Qui a envisagé et/ou qui a installé des panneaux solaires produisant de l’électricité permettant un complément de revenu en la revendant à EDF
Christine ! Le photovoltaique produit des électrons, pas de l'eau chaude !
On parle alors de panneaux solaires !
C'est de l'esbroufe ! EDF rachète de - en - cher !
De + , ce n'est pas très écolo ! On ne sait pas les retraiter en fin de vie !
Et, au bout de 20ans, paraît que ça ne crache quasiment plus de jus ! ! ! !
Bref, le ROE est pipeau !

D'autres avis peuvent etre utiles pour se forger une opinion
S'il fallait s'en tenir à tes avis nous serions encore à la chaise à porteur,pas de GPS, pas de téléphone portable
Aprés les maillots couche anti fuites qui rencontrent un grand succés auprés des mamans qui stressent d'entendre leurs époux geindre quand leurs petits se baignent et produisent des grosses commissions salisant cette même eau , j'envisage de créer des couches qui produisent de l'électricité tu veux etre mon mannequin
Découverte : des vêtements producteurs d'électricité
source: Georgia Tech Share.
L’invention d’un groupe de chercheurs de l’institut de technologie de Georgie préfigure la création de tissus générateurs d’électricité. De quoi recharger votre téléphone mobile ou votre baladeur en ne faisant rien d’autre que bouger.
Le coup de la brosse à poils
Les nanogénérateurs de courant créés par Zhong Lin Wang et son groupe sont composés de fils de Kevlar recouverts de nano fils d’oxyde de Zinc. Ces fils sont disposés de manière radiale par rapport à la fibre textile. Chaque fibre apparaît donc comme une version microscopique d’une brosse à cheveux. C’est le frottement des poils de chaque brosse entre eux qui génèrent le courant électrique, par effet piézoélectrique.
Vue schématique des fibres électrogènes \
Vue microscopique des nanofils d'oxide de Zinc. En haut ils sont recouverts d'Or.
80 mW/m²
Le rendement énergétique de ce système est bien sûr assez limité. Les chercheurs ont mesuré que deux fibres de 1 cm chacune créaient en moyenne un courant de 4 nanoampères et une tension de 4 millivolts. Wang estime qu’en améliorant le design initial des générateurs, on pourrait atteindre 80 milliwatts par mètre carré de tissu électrogène.
Attention au lavage
Zhong Lin Wang et son prototypeMais l’efficacité énergétique n’est pas le seul défaut de cette découverte. La fabrication est encore extrêmement complexe. D’abord, il faut des fibres de Kevlar. Ensuite, on dépose une couche de polymère (tétraéthoxysilane) et une d’oxyde de Zinc de 100 nanomètres d’épaisseur sur ces fibres. Elles sont alors laissées 12 h dans une solution spécifique qui induit la croissance des nanofils d’oxyde de Zinc. On redépose une couche de tétraéthoxysilane qui assure l’adhésion des fils de Zinc sur le Kevlar. Enfin, une fibre sur deux est recouverte de 300 nanomètres d’Or.
Un procédé complexe, long et qui requiert des matériaux coûteux. Mais ce n’est pas le pire : l’oxyde de Zinc est un matériau détruit par l’humidité. La chemise électrogène ne pourrait donc jamais être lavée !
Mais ceci est un autre sujet, qui nous égare
