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Modérateurs: ericpastaga, Equipe de moderation sections piscine.

comment identifier et réduire les sources de pollution

par Chris83
Sam 11 Juin 2011 à 07:52

oui comment identifier et reduire les sources de polutions quand on a une piscine privée.

Avoir une piscine c'est aussi être eco citoyen :oops: et il est utile de savoir maitriser les bons choix et les bonnes orientations dés le depart :oops:
Modifié en dernier par Chris83 le Sam 11 Juin 2011 à 07:53, modifié 1 fois.

par Luckymimie
Sam 11 Juin 2011 à 07:55

lol, et bin on n'est pas rentrés !
8)

par Chris83
Sam 11 Juin 2011 à 08:06

Chacha a écrit::lol: :lol: :lol: :?: Sujet de philo pour le Bac ? ? ? ? :?: :lol: :lol: :lol: :lol:


Faire preuve de vigilance et de sécurité de l’environnement concerne tout le monde et pas seulement et éventuellement des jeunes passant le bac.
Quand on voit ce qui s’est passé en Allemagne avec des graines germées, il est bon de savoir et connaitre ce qui est porteur de risque sanitaire par exemple

par Provence-83
Sam 11 Juin 2011 à 08:10

Tout à fait d'accord avec Chris83. . .
C'est même pour ça que j'ai arrêté de faire pousser du soja dans ma piscine. . .

par Chris83
Sam 11 Juin 2011 à 18:23

Chacha a écrit::lol: :lol: :lol: :?: Sujet de philo pour le Bac ? ? ? ? :?: :lol: :lol: :lol: :lol:


Désolée Chacha de te contredire ; c'est le theme developpé lors du Congrés Aqualie du 5 et 6 octobre 2011

Congrés des professionnels du monde de la piscine :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :roll: :lol: :lol: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink: :wink:

par triumph82
Dim 12 Juin 2011 à 08:41

Hé bin

C'est décidé, je ne me baigne plus dans ma piscine :wink: :wink: :wink:

par patamodeler85z
Dim 12 Juin 2011 à 11:10

bon ben cela va etre dur, d'arreter de péter ! :lol: :lol: :lol:

car il faut savoir que les vaches polluent énormément. le gaz méthane qu'elles produisent est énorme. :wink:

si, si.

renseignez vous auprès des paysans, vous verrez ! :roll: :roll:

une voiture c'est écolo ?
une maison c'est écolo ?
même le vélo, c'est écolo ? faire de l'acier, il faut des fours pour chauffer les minerais de fer, les pneus en caoutchoux, les plastiques,.

bref, écolo est un mot à la mode. bien sur qu'il faut y faire attention. a ce moment, faut supprimer les piscine déjà. ce n'est que du superflu, et qi coute cher.

la philo, c'est loin, mais c'est loin :roll: :roll:

a+ edouard

par MathPiscine
Dim 12 Juin 2011 à 21:21

Invite un maximum de monde, l'empreinte écologique sera réduite :)

par Chris83
Mar 14 Juin 2011 à 15:37

patamodeler85z a écrit:bon ben cela va etre dur, d'arreter de péter ! :lol: :lol: :lol:

car il faut savoir que les vaches polluent énormément. le gaz méthane qu'elles produisent est énorme. :wink:

si, si.

renseignez vous auprès des paysans, vous verrez ! :roll: :roll:

une voiture c'est écolo ?
une maison c'est écolo ?
même le vélo, c'est écolo ? faire de l'acier, il faut des fours pour chauffer les minerais de fer, les pneus en caoutchoux, les plastiques,.

bref, écolo est un mot à la mode. bien sur qu'il faut y faire attention. a ce moment, faut supprimer les piscine déjà. ce n'est que du superflu, et qi coute cher.

la philo, c'est loin, mais c'est loin :roll: :roll:

a+ edouard

tiens doudou un peu de lecture pour toi :lol:
je doute que tu ailles jusqu'au bout :lol:

Plonger dans une piscine, c'est plonger dans une solution de matière organique, de substances azotées et d'agents désinfectants. «On trouve plus de 600 sous-produits de désinfection dans les eaux de piscine et dans l'air environnant. Et autant de produits sont encore à dépister», signale le chimiste Robert Tardif, professeur titulaire au Département de santé environnementale et santé au travail de l'Université de Montréal, qui s'intéresse depuis 20 ans à l'exposition aux produits de la vie courante.
Même s'ils affichent des concentrations infimes, certains de ces composés (principalement les chloramines et trihalométhanes et les acides haloacétiques) pourraient se révéler dangereux pour la santé humaine. Des chercheurs ont évoqué des liens possibles entre l'exposition à ces produits et le cancer de la vessie et, plus récemment, certaines formes d'asthme. Une équipe de Québec a intégré des chercheurs montréalais dans une vaste enquête visant à évaluer les liens éventuels entre ces sous-produits de désinfection et. les bébés de petit poids. Présents aussi dans l'eau de consommation, ces produits pourraient engendrer des retards utérins chez les femmes enceintes qui entrent en contact avec l'eau traitée quand elles boivent l'eau du robinet et prennent leur douche ou leur bain. L'eau des piscines pourrait être une source supplémentaire d'exposition, pendant des cours d'aquaforme prénatale par exemple.

«Ceux qui fréquentent les piscines occasionnellement sont probablement peu affectés dans l'ensemble, mais nous croyons que les employés qui y passent des journées entières pourraient être à risque, de même que les athlètes qui s'entrainent à l'année», dit M. Tardif.

Avec Cyril Catto, qui met actuellement la dernière main à une thèse sur cette question, il travaille à une méthodologie permettant de mieux estimer l'exposition dans les piscines à ces produits possiblement toxiques. C'est la première fois qu'une équipe de scientifiques se penche sur le risque chimique associé aux sous-produits dans les piscines publiques au Québec. «Nous n'avons pas de raisons de croire que la situation fait gravement problème. Mais il nous semble essentiel de mettre en place des systèmes de mesure pour documenter les niveaux d'exposition dans les piscines québécoises, comme cela a été fait dans d'autres pays», précise-t-il.

Père de deux enfants qui ont obtenu des brevets de sauveteur et lui-même adepte de la baignade, Robert Tardif ne veut surtout pas donner l'impression que la situation est alarmante. «Les gens ne doivent pas craindre les piscines au point de renoncer à y aller. Mais il demeure un peu étonnant qu'on n'ait jamais établi de normes claires en matière d'effets sur la santé de certains produits toxiques présents dans l'environnement des piscines.»

Effets secondaires

Il y a deux types de contamination possible dans l'eau de baignade: la première, microbiologique, est la plus menaçante. Dissous dans l'eau, les coliformes fécaux et bactéries provoquant diarrhées, gastroentérites et, dans le pire des cas, une infection à E. coli (jamais survenue jusqu'à maintenant au Québec) sont la crainte numéro un des autorités de santé publique. Contre ce risque, on sort l'artillerie lourde: le chlore.

La seconde contamination, chimique, découle justement de cette opération. Les sous-produits résultent d'une réaction chimique provoquée par le combat que mènent sous les vagues les produits de désinfection qui s'attaquent aux molécules organiques ou azotées, naturellement présentes dans l'eau ou apportées par les baigneurs (cheveux, produits cosmétiques, urine). Plusieurs de ces sous-produits se volatilisent aisément. L'«odeur de chlore» qui chatouille les narines aux environs d'une piscine, c'est en réalité l'odeur d'une famille issue de ces sous-produits: les chloramines. «Quand vous avez les yeux qui piquent au sortir d'une baignade, c'est souvent la faute des chloramines et en particulier de la plus volatile, la trichloramine», explique Robert Tardif. À des concentrations faibles, souligne-t-il, il n'y a aucun risque. Mais il rappelle le vieux principe des toxicologues: le poison est dans la dose!

Pour les besoins de sa recherche, Cyril Catto a procédé, avec l'aide d'une équipe de l'Université Laval, à un échantillonnage détaillé dans deux piscines de la région de Québec. Il a récolté des échantillons de l'air ambiant en au moins trois endroits distincts autour des bassins ainsi que dans les salles adjacentes (vestiaires, bureau des sauveteurs) quatre fois par jour, pendant une semaine, et a répété l'opération quelques semaines plus tard. Il a aussi parallèlement effectué de nombreux prélèvements d'eau. Les analyses ne sont pas assez avancées pour être dévoilées, mais elles pourraient permettre de documenter un peu mieux la présence de contaminants. «Nous avons pris des piscines de dimension moyenne, bien entretenues, accueillant de 30 à 50 baigneurs pendant les périodes d'étude. Mais si notre modèle est validé, il se prêtera à des évaluations plus diversifiées.»

L' Europe passe aux actes

En Europe, le sujet est pris très au sérieux par l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, qui a publié l'an dernier un document de 230 pages intitulé Risques sanitaires liés aux piscines, auquel M. Tardif a participé. On y rappelle que l'exposition aux produits chimiques peut comprendre la voie orale (ingestion de l'eau), respiratoire (inhalation d'aérosols) ou cutanée (par contact avec l'eau). Deux catégories d'utilisateurs sont particulièrement visées: les très jeunes enfants (de zéro à deux ans) et les travailleurs.

Considérés comme une «population particulièrement vulnérable», les bébés devraient, avant de prendre part à des activités aquatiques en piscine intérieure, en avoir été autorisés par un médecin. «Au vu des bénéfices que pourrait apporter cette pratique comparés aux risques», peut-on lire, l'Agence «appelle à la vigilance». Avant même d'inscrire leur bambin à ces activités, les parents devraient en informer leur médecin traitant.

Quant aux travailleurs des piscines, ils courent différents risques dont ceux de souffrir d'asthme, de rhinite et d'irritation oculaire. Aussi, le personnel des piscines doit-il bénéficier d'un «suivi médical renforcé à l'embauche, pendant la période d'activité, puis après l'arrêt de l'activité». De plus, «il est recommandé que les agents chargés de l'entretien, du traitement de l'eau et de la ventilation reçoivent une formation propre à leur poste».

Une série de recommandations porte sur l'entretien des installations, le nettoyage et le traitement de l'eau. L'Agence préconise de considérer les piscines comme des «bâtiments à pollution spécifique», ce qui implique des normes strictes en matière de ventilation.

Au Québec, reconnait Robert Tardif, on est encore loin d'un tel rapport. Mais les prochains mois devraient nous en apprendre davantage sur la question.

par patamodeler85z
Ven 17 Juin 2011 à 14:57

bonjour.

très bien, tout sur la pollution. tu as du passer un temps fout à tout saisir. chapeau.

Il est vrai que nous sommes dans un monde ou tout est pollution. on ne peut plus y échapper,depuis longtemps d'ailleurs : repenser aux années 1850-1900 ou les gens se chauffaient en ville avec des poeles à charbon et cheminées : la pollution devait etre énorme à cette époque, sachant que les normes sur l'environnement n'exitaient pas, meme le mot 'environnement' je pense ne devait pas exister.

oui il faut faire attention, mais nous ne sommes que de passage sur terre et il faut en profiter un peu avant que les vers ne profitent de nous.

moi je dis : vivement que je puisse faire mon premier plouf mi juillet.

c'est égoiste, un peu, mais j'ai tellement donner aux autres (dans le milieu sportif en sport co) que maintenant je pense à moi.
a+.
edouard

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